Bonjour Antoine
J'ai besoin de tes services : j'ai relevé ceci dans la doctrine secrète de Blavatsky :"Dans le premier chapitre de la Genèse, le mot "Dieu" représente les Elohim – des Dieux au pluriel et non pas un Dieu. C'est une traduction rusée et malhonnête. En effet, la Cabale tout entière explique suffisamment que les Alhim (Elohim) sont au nombre de sept "
Hors , sur facebook, j'ai Serge Caselay qui me dit ceci :
Serge Cazelais
Dans le contexte de la Torah, Elohim est un nom propre, le verbe étant au singulier dans le texte hébreu. Il faut se méfier de ces mauvais étudiants de première année d'hébreu
Je croyais que le mot Elohim était au pluriel?
2eme question à propos des mots qu'à prononcés Jésus sur la croix :Les évangiles mal traduits; un exemple : ce que dit Jésus sur la croix:
Nous appelons l'attention sur la partie du 46ème verset du 27ème chapitre de Mathieu, qui est ainsi conçue : "Eli, Eli, lama sabachthani ? – ce qui veut dire, Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Nos versions sont, bien entendu, tirées des manuscrits grecs originaux (la raison pour laquelle nous ne possédons aucun manuscrit original en Hébreu à ce sujet, c'est qu'en Hébreu les énigmes se trahiraient elles-mêmes, si on les comparait avec la source d'où elles sont tirées, l'Ancien Testament). Tous les manuscrits grecs, sans exception, expriment ainsi ces paroles :
̉Ηλι Ηλι λαμα̉ σαβαχθαυί
Ce sont des mots hébreux, écrits en Grec et les voici en hébreu ;
ינ־תחבש המל ילא ילא
Les Ecritures donnent comme traduction correcte de ces paroles, "c'est-à-dire, Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Nous venons de reproduire les mots, sans discussion possible et il est hors de doute que telle est l'interprétation qu'en donnent les Ecritures. Or, les mots n'ont pas cette signification et c'est une fausse traduction. Voici le véritable sens, qui est précisément le contraire de celui que l'on donne :
Mon Dieu, Mon Dieu, comme tu me glorifies !
Hors le même personnage (serge cazelais) me dit ceci : En fait, si ça vient de Blavatsky, on peut fermer le dossier et être certain que c'est du roman. Postuler une erreur de copiste devient une entourloupe. Le Psaume 22.2 en hébreux dit «abandonner», la traduction (ancienne) de ce psaume en araméen dit «abandonner», la Septante grecque dit “abandonner” et les mots de Jésus en araméen sur la croix, rapportés en araméen et traduits en grec par le rédacteur de l'évangile ont aussi «abandonner». Ça en fait du monde pour se tromper! La meilleure chose à faire est de prendre le texte transmis par la tradition, le recevoir et essayer de le comprendre (que dont Blavatsky était, semble-t-il incapable) plutôt que d'essayer de le corriger pour lui faire dire quelque chose qui soit en apparence plus acceptable à notre esprit rationnel moderne. Ceux qui veulent toujours corriger le texte biblique sont ceux qui ne le comprennent pas. Ce texte est rempli de paradoxes et de problèmes logiques qu'il faut résoudre afin de bien l'interpréter. Origène parlait de «pierres d'achoppement» placées là par le rédacteur afin de faire travailler nos esprits pour en saisir le sens. Les néo-ésotéristes modernes refusent de faire ça. Voilà pourquoi ils font la promotion de théories qui ne résistent pas à l'examen comme celle des textes modifiés par les conciles et les copistes, ou de sources plus originale que l'originale dont eux seuls ont eu accès. Croire qu'un copiste ancien ait confondu un “het” (ח) et un “caf” (ק) est difficile à accepter. Ces deux lettres sont vraiment très différentes. On confondait parfois des het et des he ( ח et ה ) les grecs confondaient le Alpha majuscule (Α), le lambda majuscule (Λ) et et delta majuscule (Δ), mais un het et un qaf... Le fait est que Mme Blavatsky ne savait pas lire l'hébreu, ni l'araméen.
Pourrais-tu avoir la gentillesse de me dire ce qu'il en est exactement
bonne journée à toi
J'ai besoin de tes services : j'ai relevé ceci dans la doctrine secrète de Blavatsky :"Dans le premier chapitre de la Genèse, le mot "Dieu" représente les Elohim – des Dieux au pluriel et non pas un Dieu. C'est une traduction rusée et malhonnête. En effet, la Cabale tout entière explique suffisamment que les Alhim (Elohim) sont au nombre de sept "
Hors , sur facebook, j'ai Serge Caselay qui me dit ceci :
Serge Cazelais
Dans le contexte de la Torah, Elohim est un nom propre, le verbe étant au singulier dans le texte hébreu. Il faut se méfier de ces mauvais étudiants de première année d'hébreu
Je croyais que le mot Elohim était au pluriel?
2eme question à propos des mots qu'à prononcés Jésus sur la croix :Les évangiles mal traduits; un exemple : ce que dit Jésus sur la croix:
Nous appelons l'attention sur la partie du 46ème verset du 27ème chapitre de Mathieu, qui est ainsi conçue : "Eli, Eli, lama sabachthani ? – ce qui veut dire, Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Nos versions sont, bien entendu, tirées des manuscrits grecs originaux (la raison pour laquelle nous ne possédons aucun manuscrit original en Hébreu à ce sujet, c'est qu'en Hébreu les énigmes se trahiraient elles-mêmes, si on les comparait avec la source d'où elles sont tirées, l'Ancien Testament). Tous les manuscrits grecs, sans exception, expriment ainsi ces paroles :
̉Ηλι Ηλι λαμα̉ σαβαχθαυί
Ce sont des mots hébreux, écrits en Grec et les voici en hébreu ;
ינ־תחבש המל ילא ילא
Les Ecritures donnent comme traduction correcte de ces paroles, "c'est-à-dire, Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Nous venons de reproduire les mots, sans discussion possible et il est hors de doute que telle est l'interprétation qu'en donnent les Ecritures. Or, les mots n'ont pas cette signification et c'est une fausse traduction. Voici le véritable sens, qui est précisément le contraire de celui que l'on donne :
Mon Dieu, Mon Dieu, comme tu me glorifies !
Hors le même personnage (serge cazelais) me dit ceci : En fait, si ça vient de Blavatsky, on peut fermer le dossier et être certain que c'est du roman. Postuler une erreur de copiste devient une entourloupe. Le Psaume 22.2 en hébreux dit «abandonner», la traduction (ancienne) de ce psaume en araméen dit «abandonner», la Septante grecque dit “abandonner” et les mots de Jésus en araméen sur la croix, rapportés en araméen et traduits en grec par le rédacteur de l'évangile ont aussi «abandonner». Ça en fait du monde pour se tromper! La meilleure chose à faire est de prendre le texte transmis par la tradition, le recevoir et essayer de le comprendre (que dont Blavatsky était, semble-t-il incapable) plutôt que d'essayer de le corriger pour lui faire dire quelque chose qui soit en apparence plus acceptable à notre esprit rationnel moderne. Ceux qui veulent toujours corriger le texte biblique sont ceux qui ne le comprennent pas. Ce texte est rempli de paradoxes et de problèmes logiques qu'il faut résoudre afin de bien l'interpréter. Origène parlait de «pierres d'achoppement» placées là par le rédacteur afin de faire travailler nos esprits pour en saisir le sens. Les néo-ésotéristes modernes refusent de faire ça. Voilà pourquoi ils font la promotion de théories qui ne résistent pas à l'examen comme celle des textes modifiés par les conciles et les copistes, ou de sources plus originale que l'originale dont eux seuls ont eu accès. Croire qu'un copiste ancien ait confondu un “het” (ח) et un “caf” (ק) est difficile à accepter. Ces deux lettres sont vraiment très différentes. On confondait parfois des het et des he ( ח et ה ) les grecs confondaient le Alpha majuscule (Α), le lambda majuscule (Λ) et et delta majuscule (Δ), mais un het et un qaf... Le fait est que Mme Blavatsky ne savait pas lire l'hébreu, ni l'araméen.
Pourrais-tu avoir la gentillesse de me dire ce qu'il en est exactement
bonne journée à toi