On peut aborder la notion de "miroir" par ce biais : MIRER = AD-MIRER, mêmes lettres que AIMER
Paradoxe : peut-on aimer ce qui est égal à nous ? Ou faut-il que ce qui nous fait face soit différent ?
Un face-à-face = 66. Tiens ! Deux chiffres en miroir. L'HOMME = 66. Mais le 666, c'est trois chiffres traditionnellement considéré comme une clé dont il faut découvrir l'aspect inteligent (le DE-MONSTRER). Qui est ce troisième six ?
"Une réflexion" sur le ternaire s'impose apparemment dans ce "face-à-face". COMMENCEMENT = 123 (comme en semant)
La question du miroir pose la question de l'arrivée du "trois", puisqu'il va poser un problème à ce miroir doublement narcissique. Ce trois c'est tout ce qui provoque un désordre apparent à notre couple, et l'invite à regarder les choses selon une perspective ou une dimension nouvelle. L'amour est un attrait qui doit être renouvelé. La curiosité en est un aspect. C'est le "neuf" = 9. "EST NEUF" = 90 : ou un germe et un oeuf.
Ainsi ce trois va être le germe (6 ou 9) d'un futur vu comme une exploration anticipée par la pensée visualisatrice de dimensions divines possibles. Il est un pari de résolution de nouveaux mystères, qui passeront de l'inconnu au connu par le biais de la parole, ou de la science : un message. Deux personnes se regardent ; si elles ne parlent pas, leur regard est stérile, et ne dure qu'UN temps. Le langage est le troisième terme de la communication entre l'homme et les choses, l'observateur et l'observé, et surout les êtres en communication libre.
TROIS = 81 = 9 x 9 : deux germes multipliés l'un par l'autre. C'est la génétique des croisements. La connaisance est un croisement produisant une lumière.
Troisieme = 113 = L'homme double = c'est l'homme = le tri-Angle.
Ainsi 1 + 1 = 3, c'est-à-dire : deux êtres parlant doivent produire un fils : le troisième terme. La pierre d'ANGLE. (Ange se disait autrefois Angle, de aggelos = messager)
Et traditionnellement le "fils", c'est le "Verbe", non ? Cela confirme que l'enfant est le fruit de cette miration-copulation-langage : Le fils auto-créé grâce à la prolixité des choses. DEUX COEURS = 135 = CHIFFRE TRIPLE = 1 EN 3 TRIOMPHAL = INTER UNITE = JE SUIS LE UN = MULTIPLIER = 135.
C'est le trois qui ouvre au mouvement, à la vie. Il n'y à pas de vie sans ce trois, sans ce mouvement, ce TRE-PAS.
Unir et multiplier = 222. Le tiers de 666, mais aussi trois 2 mis les uns à la suite des autres. Deux c'est le couple et donc une sexualité. 2 2 2 c'est trois sexualités. 123 = commencement. A B C. Le commencement de la sexualité c'est un désir, désir de fructifier les mots, de les "multiplier" = 135.
L'atomisme permet de créer des combinaisons vraiment originales, qui sont de nouveaux atomes en eux-mêmes, ofrant la possibilité d'un imprévu, d'une surprise, d'une vie par association des unités entre elles. C'est aussi le principe de l'alphanumération.
La démarche initiatique est un passage et un TRE-pas à une autre di-mension des mesures de l'esprit, qui avance de proche en proche avec des liaisons entre les différentes unités.
Le nombre Pi, de même que le nombre d'or, phi, sont des irrationnels, qui représentent l'infini de la surprise possible, du "neuf". Ils sont en eux-mêmes un nouveau chiffre tout en restant eux-mêmes. Ils représentent Dieu en scissiparité, et Dieu c'est le Verbe. Dieu est forcément mouvement et vie. Avec 26 lettres et 10 chiffres de 0 à 9, on fait un dictionnaire. N'est-ce pas extraordinaire ? De même qu'en musique avec 7 notes on a produit ce que l'on sait.
Les tables de base neuf semblent bien montrer quelque chose, mais les tables de base un ont aussi leur intérêt car multipliant les effets et possibilités "nombreuses" en terme de résultats car présentant un nombre maximal de résultats distincts les uns des autres. On a ainsi de même un potentiel maximal de cas à traiter, offrant par prolongement naturel, une richesse de matériaux cabalistique pouvant sucsciter et déclencher de nouvelles idées.
Qu'en pensez-vous ?
Paradoxe : peut-on aimer ce qui est égal à nous ? Ou faut-il que ce qui nous fait face soit différent ?
Un face-à-face = 66. Tiens ! Deux chiffres en miroir. L'HOMME = 66. Mais le 666, c'est trois chiffres traditionnellement considéré comme une clé dont il faut découvrir l'aspect inteligent (le DE-MONSTRER). Qui est ce troisième six ?
"Une réflexion" sur le ternaire s'impose apparemment dans ce "face-à-face". COMMENCEMENT = 123 (comme en semant)
La question du miroir pose la question de l'arrivée du "trois", puisqu'il va poser un problème à ce miroir doublement narcissique. Ce trois c'est tout ce qui provoque un désordre apparent à notre couple, et l'invite à regarder les choses selon une perspective ou une dimension nouvelle. L'amour est un attrait qui doit être renouvelé. La curiosité en est un aspect. C'est le "neuf" = 9. "EST NEUF" = 90 : ou un germe et un oeuf.
Ainsi ce trois va être le germe (6 ou 9) d'un futur vu comme une exploration anticipée par la pensée visualisatrice de dimensions divines possibles. Il est un pari de résolution de nouveaux mystères, qui passeront de l'inconnu au connu par le biais de la parole, ou de la science : un message. Deux personnes se regardent ; si elles ne parlent pas, leur regard est stérile, et ne dure qu'UN temps. Le langage est le troisième terme de la communication entre l'homme et les choses, l'observateur et l'observé, et surout les êtres en communication libre.
TROIS = 81 = 9 x 9 : deux germes multipliés l'un par l'autre. C'est la génétique des croisements. La connaisance est un croisement produisant une lumière.
Troisieme = 113 = L'homme double = c'est l'homme = le tri-Angle.
Ainsi 1 + 1 = 3, c'est-à-dire : deux êtres parlant doivent produire un fils : le troisième terme. La pierre d'ANGLE. (Ange se disait autrefois Angle, de aggelos = messager)
Et traditionnellement le "fils", c'est le "Verbe", non ? Cela confirme que l'enfant est le fruit de cette miration-copulation-langage : Le fils auto-créé grâce à la prolixité des choses. DEUX COEURS = 135 = CHIFFRE TRIPLE = 1 EN 3 TRIOMPHAL = INTER UNITE = JE SUIS LE UN = MULTIPLIER = 135.
C'est le trois qui ouvre au mouvement, à la vie. Il n'y à pas de vie sans ce trois, sans ce mouvement, ce TRE-PAS.
Unir et multiplier = 222. Le tiers de 666, mais aussi trois 2 mis les uns à la suite des autres. Deux c'est le couple et donc une sexualité. 2 2 2 c'est trois sexualités. 123 = commencement. A B C. Le commencement de la sexualité c'est un désir, désir de fructifier les mots, de les "multiplier" = 135.
L'atomisme permet de créer des combinaisons vraiment originales, qui sont de nouveaux atomes en eux-mêmes, ofrant la possibilité d'un imprévu, d'une surprise, d'une vie par association des unités entre elles. C'est aussi le principe de l'alphanumération.
La démarche initiatique est un passage et un TRE-pas à une autre di-mension des mesures de l'esprit, qui avance de proche en proche avec des liaisons entre les différentes unités.
Le nombre Pi, de même que le nombre d'or, phi, sont des irrationnels, qui représentent l'infini de la surprise possible, du "neuf". Ils sont en eux-mêmes un nouveau chiffre tout en restant eux-mêmes. Ils représentent Dieu en scissiparité, et Dieu c'est le Verbe. Dieu est forcément mouvement et vie. Avec 26 lettres et 10 chiffres de 0 à 9, on fait un dictionnaire. N'est-ce pas extraordinaire ? De même qu'en musique avec 7 notes on a produit ce que l'on sait.
Les tables de base neuf semblent bien montrer quelque chose, mais les tables de base un ont aussi leur intérêt car multipliant les effets et possibilités "nombreuses" en terme de résultats car présentant un nombre maximal de résultats distincts les uns des autres. On a ainsi de même un potentiel maximal de cas à traiter, offrant par prolongement naturel, une richesse de matériaux cabalistique pouvant sucsciter et déclencher de nouvelles idées.
Qu'en pensez-vous ?